Galerie Thébault
23, rue du Maine
Bazouges-la-Pérouse
CHLOÉ JARRY
du 20-03-2011 au 05-06-2011
les week-ends de 14h30 à 18h
Vernissage le 20/03/2011
Lieu : Galerie Laizé






Enfin de retour dans nos locaux nous préparons le prochain rendez-vous estival du Village pour vous accueillir dans les meilleures conditions.
Les expositions d'été °* BEAUX JOURS 2020 *° ouvriront leurs portes à partir du dimanche 28 juin.
Un finissage en présence des artistes est prévu le dimanche 30 août à partir de 12h.
A très bientôt !
Du 10 au 13 mai 2018, Le Village y participe pour la troisième année consécutive. À cette occasion le centre d’art présente une sélection d’œuvres de la série Les Ponsées de Régis Perray. Plus d’infos ici.
Comme tous les ans, le centre d’art de Pontmain, la galerie Albert Bourgeois de Fougères et Le Village, site d’expérimentation artistique proposent au public du territoire de découvrir en une après-midi trois espaces d’art contemporain.
Départ du bus: galerie Albert Bourgeois à Fougères
Tarif: 3 €
Réservation: centre d’art de Pontmain, 02 43 05 08 29, stephaniemiserey@cc-bocagemayennais.fr
En partenariat avec le réseau des bibliothèques de Couesnon Marches de Bretagne, Le Village accueille autour des œuvres exposées le multi-instrumentiste burkinabais Mad Lenoir et le comédien Patrick Sueur pour une découverte poétique et musicale au cœur de l’univers des griots de l'Afrique de l'ouest.
Un journal de comptoir édité par Sébastien REUZÉ est proposé au bar Le Night durant les expositions d'été. Plus d'infos >
Déambulation et lecture des poèmes d'Angèle VANNIER par Nicole LAURENT CATRICE
Visites gratuites sur réservation.
Possibilité de s'inscrire dans un programme annuel avec visite des expositions du Village et accueil du MuMo (Musée d'art mobile) près de chez vous au printemps ! (réservé aux cantons d'Antrain et de St Brice-en-Cogles)
Infos : Stéphanie 0299974360
Jeudi 25 sept à la galerie Laizé
Le Musée Mobile est installé pour la journée du 24 juin sur le parking de la salle des sports !
Amis curieux, avancez !
Mardi 27 mai à 20h30 à la galerie Laizé.
Dimanche 25 mai à 13h30, départ de Rennes
Une échappée contemporaine pour découvrir 3 lieux d'art contemporain !
Jeudi 3 avril
Rencontre entre les différents témoins photographiés par Bruno Elisabeth dans le cadre de son projet "La route de la Voie de la Liberté".
A l'occasion des Portes ouvertes de l'usine Riaux, fabricant d'escaliers à Bazouges-la-Pérouse, Le Village vous accueille en continu dès 10h.
La série photographique de Cédric Martigny réalisée dans l'usine Riaux est exposée galerie Laizé.
Avis aux bazougeais !
Répétition samedi 1er mars à Bazouges.
Spectacle Cubing bis le dimanche 2 mars à 14h30.
Inscriptions au 0299974360.
“Je sollicite la rencontre entre des situations où l’espace de l’art se rencontre avec la vie. J’aime le trouble, lorsque ces deux espaces se superposent, se mélangent. Il y a alors un aller-retour incessant entre ses deux espaces (mental ou physique). Pour arriver à mon but, je simplifie, je dépouille au maximum une situation familière jusqu’à ce qu’il ne reste que la forme d’un objet, symbole de quelque chose de plus grand.
Mes sculptures sont des doubles, comme des souvenirs proches qui découlent de l’accumulation de faits routiniers (la façon de tourner la clé dans une serrure capricieuse, de connaître l’emplacement précis des prises électriques chez soi).
De cette matière, m’est venue une passion. Cette matière qui imprime chaque geste et qui est pour autant si capricieuse. J’ai choisi de la faïence comme matériau « de coulée » pour copier ces objets. Elle induit des transformations de la forme : torsion non contrôlée durant les étapes du moulage, du séchage, de la cuisson… Ces accidents m’intéressent ; ils sont opposés à la prise électrique lisse sortie de l’usine. Chaque faïence est différente, ainsi cette forme échappe au circuit de la production sérielle industrielle. La forme à peine tordue crée une étrangeté. Elles sont aussi discrètes que leurs modèles. Elles créent une fracture du quotidien.
La faïence, une fois travaillée, puis cuite, peut perdre jusqu’à 13% de sa taille. Cette perte d’échelle reste pour autant discrète, les formes rapetissées se sont encore plus détachées de leur modèle, de l’empreinte de celui-ci.
Mes sculptures habitent l’espace que je leur propose. Elles ne changent en rien ses fonctions, elles le marquent simplement. Ce sont des appendices d’un autre lieu parallèle. J’ai exploité le hors champ que suggèrent mes sculptures. Ainsi deux réalités se superposent. Avec des reproductions de poignées, je suggère une installation plus grande ; ou une situation quotidienne en plaçant des artefacts de chaussons à l’entrée de la salle d’exposition.
Ces éléments ne sont pas dans leur contexte malgré leur situation spatiale correcte. Les sculptures sont à leur place malgré une fracture, un écart. Elles ne sont pas ce que leur forme et leur place nous indiquent.” C.J.